Ce que l’on vise, ce sont les effets durables de nos travaux, leur utilité pour les acteurs de terrain. Comment favoriser l’appropriation des matériaux de recherche par les milieux de pratiques ? Cela suppose un travail avec les milieux professionnels.
En préalable, nous nous sommes intéressés aux écarts d’appréciation entre chercheurs et professionnels dans les recherches déjà réalisées.
La notion de « transfert » en sciences est à manier avec précaution car elle peut donner l’impression que la connaissance, le savoir, le changement viennent « d’en haut » alors même qu’il s’agit de croiser le savoir professionnel et le savoir académique.
Ne faut-il pas développer une méthode, des savoir-faire dans ce domaine avec des «passeurs» qui seraient impliqués dans cette logique d’infusion et capables de faire un travail d’interprétation, de traduction en partant du terrain et en analysant les phénomènes de résistance, d’inertie ?
Pour explorer ces différentes pistes, il a été envisagée une recherche spécifique sur les instances et les modes opératoires qui peuvent favoriser la diffusion des travaux et leur appropriation par les milieux de pratiques.
Des séminaires, colloques permettent de présenter nos différents travaux de recherche
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